Wishing you another wonderful year of happiness and joy. Happy Birthday!
Happy Birthday and many happy returns of the day.
Money's tightTimes are hard
Here's you friggin birthday card
Happy Birthday Quotes
Happy Birthday and many happy returns of the day.
Money's tight Un poisson rouge Un poisson rouge ayant appris
J'ai vu.. J'ai vu
Petit poisson qui tourne en rond Petit poisson qui tourne en rond
Ce n'est pas un poisson Polisson | |
Il te faut, pour ce dessert :
Fouetter le fromage blanc pour le faire augmenter de volume. Le verser dans un saladier; mettre au frais.
Préparer les poissons en coupant les poires en quatre. Tailler éventuellement les parts pour leur donner une jolie forme allongée.
Piquer les amandes émincées dans les morceaux de poire comme pour faire des écailles.
Découper les queues de poisson dans du papier aluminium.
Placer les poissons ainsi réalisés en quinconce sur le fromage blanc.
Les décorer de leur queue, d'un bonbon d'argent pour l'œil et de sucre rose.
Servir frais avec des biscuits.
Ce dessert nature, très frais et décoratif, fera merveille dans un goûter d'enfants pour le 1er avril.Il te faut, pour ce dessert :
Fouetter le fromage blanc pour le faire augmenter de volume. Le verser dans un saladier; mettre au frais.
Préparer les poissons en coupant les poires en quatre. Tailler éventuellement les parts pour leur donner une jolie forme allongée.
Piquer les amandes émincées dans les morceaux de poire comme pour faire des écailles.
Découper les queues de poisson dans du papier aluminium.
Placer les poissons ainsi réalisés en quinconce sur le fromage blanc.
Les décorer de leur queue, d'un bonbon d'argent pour l'œil et de sucre rose.
Servir frais avec des biscuits.
Ce dessert nature, très frais et décoratif, fera merveille dans un goûter d'enfants pour le 1er avril.LES FARCES
Les 6 conseils
1 - ne prépare pas ta farce au dernier moment
2 - n'insiste pas trop, cela aurait l'air suspect
3 - ne ris pas avant de faire la farce
4 - ne fais pas deux fois de suite la même farce
5 - ne fais pas de farces trop compliquées
6 - réfléchis bien aux conséquences de ta farce.
Pour commencer, le grand classique !
Le poisson d'avril à imprimer et à découper
Pour imprimer ton poisson d'avril en noir et blanc pour le colorier toi-même,
c'est par ici !
Si tu préfères imprimer ton poisson d'avril en couleur,
c'est par là !
Découpe-le et ajoute un morceau de scotch pour le coller dans le dos de tes copains ou copines. Tu peux aussi l'utiliser en décoration dans la maison, ou bien le déposer dans le frigo ou dans les chaussures de tes parents par exemple...
Un 1er avril très animé !
A la maison :
* Au petit déjeuner :
"Tiens... une nouvelle confiture. Mais... elle a presque 200 ans !"
Fabrique une étiquette pour la coller sur le pot de confiture : quoi de meilleur qu'une confiture de bave de grenouille à consommer avant 1812 ? Tu peux aussi imprimer l'étiquette au format pdf (153k).
* Des chaussons qui rétrécissent :
Au bout des chaussons de ton papa ou de ta maman, mets une boule de papier WC (3 ou 4 feuilles bien écrasées dans tes mains).
* De drôles de chaussures
Enfile les lacets de ton papa dans le sens inverse. Quelle surprise lorsqu'il voudra aller au travail !
* Ton papa ou ta maman porte des lunettes ?
Impossible de les ouvrir, tu as attaché les branches des lunettes avec un bout de scotch...
Petit conseil : fais très attention de ne pas casser les lunettes, parce que là, ça devient vraiment moins drôle...
A l'école :
Transforme en bric à brac la trousse de ton voisin. Vide-la discrètement et remplace ses crayons par des objets idiots comme une brosse à dents, une fourchette, une pile ...
Les idées de Denis la Malice
Une araignée dans le pot de confiture
Le matin du 1er avril, à l'heure où l'on se retrouve devant le bol de céréales et le café au lait, ouvre le pot de confiture et déposes-y, sans te faire remarquer, une araignée ou une petite bête de la même famille (en plastique !). Referme bien le pot. Beurk, quelle tête fera maman quand elle voudra se faire sa tartine....
Petit conseil : ne fais pas cette farce à ta grand-mère si elle est cardiaque !
Drôle de peigne !!!
Un peigne plein de poux.... C'est bien connu, ça fait pas très propre sur soi. Pour imiter l'aspect des poux, découpe des petits morceaux de réglisse. Glisse-les dans les dents d'un peigne et observe bien ton papa lorsqu'il voudra se peigner....
Farces réalisées d'après des idées lues dans le petit quotidien édition du 27 mars 1999. Le quotidien qu'il faut lire !!!
Un beau jour d'été dans une source très paisible à la montagne.
Mme Truite et ses six enfants nommés:
Tritrie, True, Fitrine, Rotaplome, Soulina et Phifat,
s'apprêtaient à pique-niquer bien à l'ombre à l'abri du soleil.
Au menu: algues, crevettes sauce tomate et sardines chantilly.
Ils vécurent très heureux pendant 3 semaines, puis... ils rentrèrent chez eux !
Mes trois petits poissons
Marion, CP,
École des Vallées, France
Mon petit poisson blanc et rouge est paralysé de la bouche, mais le deuxième est vif.
Le plus gros saute par-dessus les décors de l'aquarium.
Au réveillon le Gupi faisait la fête et Cléo descendait les vitres de l'aquarium et puis remontait.
Parfois, j'ouvre l'aquarium et Cléo monte à la surface et fait des bisous.
Lorsque je lui mets de la musique, il monte et... il chante!!
Le poisson
poème de Mona, 9 ans
Qui est-ce qui saute dans l'océan clair ?
Mais, c'est le poisson aux écailles brillantes et multicolores.
Quand il nage dans les vagues,
On peut voir des bulles qui apparaissent.
On peut le voir sauter dans l'écume blanche.Mais, quand on le glisse dans un bocal,
Il rêve de vivre dans la mer, une rivière, même un lac!
Il rêve aux temps où ses nageoires
Se frottaient contre les algues vertes.
La blague
une histoire écrite par
les élèves de CM de l'École des Marais de Provins,
avec Pascal, leur enseignant
Autrefois dans l’océan Atlantique vivait dans une vieille grotte une famille de dauphins. Cette famille était composée d’un dauphin, d’une dauphine et d’un “delphineau”. Ils étaient tous maladroits et le “delphineau” était le plus maladroit de la famille.
Un matin, il se réveilla dans l’eau très claire et en quittant son lit d’algues et d’étoiles de mer, il entendit un bruit bizarre comme si quelqu’un avait eu un accident. “Delphineau” voulait aller voir car il était aussi très curieux. En s’approchant, il vit des restes de tissus et il sentit comme du gaz ; il comprit qu’il s’agissait d’un plongeur. Il s’était retrouvé perché sur le cocotier d’une île à la suite de l’explosion de ses bouteilles de plongée. Le plongeur était à la recherche d’un trésor lorsque l’accident se produisit.
Le plongeur, un peu sonné, reprit connaissance et descendit de l’arbre. Il courut au bord de l’eau pour se rafraîchir un peu. Le plongeur se releva et aperçut le “delphineau”.
- Comment t’appelles -tu ?
- Delphineau. Je suis très maladroit à ce qui paraît.
- Où vis-tu ?
- Dans une grotte avec mes parents. Et toi que recherches-tu dans ces eaux ?
- Un trésor !
- Pourquoi ?
- Parce qu’on dit qu’il y en a un.
- Dans ce cas je veux bien t’aider à le trouver.
Le plongeur expliqua au “delphineau” qu’il ne pouvait plus nager sous l’eau sans oxygène. Le “delphineau” lui dit :
- Mange quelques fruits que tu trouveras sur cette île.
- Oui, je veux bien si ça te fait plaisir.
Le plongeur en réalité était affamé, il ne pouvait cacher sa faim. Il engloutit trois bananes, deux ananas, trois mangues et quelques petits fruits. Puis il avait envie pour terminer d’une noix de coco. Il faillit se rompre trois fois le coup en montant sur le cocotier. Il pensait qu’après ce repas une baignade ne lui ferait pas de mal.
Lorsqu’il rejoignit le “delphineau”, il sentit des petites douleurs aux poumons. A peine avait-il fait quelques pas dans l’eau qu’un “crabe-grue” l’attrapa par le fond de son maillot de bain et l’entraîna au fond. Le plongeur resta sous l’eau cinq ou six minutes en pensant que c’était la fin du monde. Le crabe qui s’étranglait de rire lui montra qu’il pouvait rester sous l’eau. Le plongeur à son grand étonnement pouvait respirer sous l’eau ! Le “delphineau” qui arrivait lui dit :
- Allez viens être humain, grimpe sur mon dos.
- Je ne m’appelle pas être humain ; mon nom est Vincent.
Après leur discussion ils partirent à la recherche du trésor. En chemin ils rencontrèrent un vieux poisson sage.
- Il vient toujours me voir quand j’ai de la compagnie, dit le “delphineau”.
Ce poisson avait un oeil foncé et un oeil multicolore qui semblait prêt à rire.Il leur expliqua le trajet pour arriver au trésor. Le plus difficile serait de pénétrer dans l’épaulard géant, gardien du trésor.
En suivant le chemin, le nez sur la carte que leur avait donnée le vieux sage, ils entendirent une drôle de voix grave. Ils relevèrent la tête aussitôt. Ils ne virent personne, alors ils continuèrent leur chemin en pensant qu’ils avaient rêvé. Mais la voix reprit, et là, ils l’avaient bel et bien entendue.
Devant eux, ils virent un poulpe à la tête bleue et aux tentacules verdâtres sur lesquelles on aurait branché des milliers d’ampoules. Sur son nez, une lampe s’allumait quand il parlait et s’éteignait quand il se taisait. Après l’avoir examiné, le plongeur prit la parole :
- Qui êtes-vous ?
- A votre avis ? Un poulpe !
- Un poulpe ? Avec vos drôles de couleurs et vos espèces de boutons qui clignotent ?
- Arrêtez de me parler sur ce ton ou je m’énerve !
- Alors ça, moi je voudrais bien le voir.
- Chut! lui dit le “delphineau” tout bas. Calme-toi. Il peut se mettre en colère et quand il l’est, il l’est !
- D’accord, j’arrête mais je veux quand même des explications sur son nez clignotant.
Le poulpe, qui avait une très bonne ouïe, entendit la discussion entre le “delphineau” et le plongeur et répondit aussitôt :
- C’est parce que je suis électrique.
- Bon il faut que l’on continue notre chemin. Ravis d’avoir fait votre connaissance. Au revoir.
Le plongeur tendit la main au poulpe électrique mais le “delphineau” l’arrêta aussitôt :
- Si tu lui serres le tentacule tu seras électrocuté de chatouilles.
Le poulpe était désespéré : chaque fois qu’il serrait la main de quelqu’un il l’électrocutait. Peu à peu plus personne ne le saluait quand on le rencontrait au fond des océans. Le plongeur était un peu gêné. Le poulpe se sentait si triste qu’il se mit à pleurer.
Devant ce spectacle Vincent voulut le consoler et il s’approcha. Avec beaucoup d’imprudence il prit un tentacule dans sa main. Toutes les secousses qu’il sentait l’assommèrent complètement. Le “delphineau” lui donna plusieurs petites claques avec ses nageoires pour le ranimer. Le poulpe ne savait plus comment se faire pardonner.
Ils rencontrèrent ensuite de multiples poissons de couleurs différentes.
- On dirait des clowns, pensa le plongeur.
Au détour d’un rocher ils tombèrent sur une splendide tortue de mer. Sa carapace était teintée de verts très différents et d’un peu de jaune. Elle brillait. La tortue dormait. Ils s’approchèrent d’elle quand, tout à coup, elle se réveilla en sursaut. Elle les salua amicalement et les invita à prendre un petit café. Ils discutèrent du trajet à suivre pour arriver au trésor.
- Nous avons besoin de ton aide.
- Et pourquoi ?
- On recherche un trésor.
- Ah, oui je vois mais il faut faire attention.
La tortue leur parla du labyrinthe en corail dans lequel ils risquaient de se couper. Aussi elle leur proposa de mettre les vieilles carapaces anti-choc de ses ancêtres qu’elle avait gardées au grenier. Elle alla les chercher pour qu’ils ne se blessent pas. Les deux compagnons voulaient lui donner quelques coquillages mais la tortue refusa et elle proposa même de les accompagner dans le labyrinthe. Ils partirent aussitôt vêtus de leur carapace et ils traversèrent le labyrinthe. Les pointes de corail étaient si nombreuses et coupantes qu’ils sentaient des chocs partout. A la sortie du labyrinthe ils rendirent les carapaces à la tortue ; l’une était fêlée et l’autre toute éraflée. Ils étaient gênés, mais la tortue leur expliqua que c’était des vieilles carapaces et ce n’était pas très grave. Ils eurent du mal à quitter la tortue et l’embrassèrent très fort en pleurant avant de partir.
- Maintenant, dit le “delphineau”, nous sommes sur le territoire de l’épaulard géant, on ne devrait pas tarder à l’apercevoir.
En effet, quelques minutes plus tard, ils le virent qui se prélassait parmi les algues. Vincent et le “delphineau” s’approchèrent de l’énorme masse et profitèrent d’une pause dans sa respiration pour s’introduire par les évents à l’intérieur de l’épaulard géant. Vincent avait pris soin au passage de boucher les évents avec des algues. Les deux compagnons avaient faim et ils espéraient trouver à manger dans le ventre de l’orque. Mais ils trouvèrent dans son estomac le coffre qui était signalé sur la carte et que l’épaulard avait dû avaler par hasard. Le plongeur pleurait de joie et de bonheur. Il ouvrit le coffre et se mit à rire avec le “delphineau” quand ils virent deux limaces au fond du coffre. Le poisson-sage s’était bien moqué d’eux.
Ils n’eurent pas le temps de rire plus longtemps car les algues qui bouchaient les évents de l’épaulard le firent éternuer si fort que le “delphineau” et le plongeur furent expulsés et envoyés à la surface en un éclair. Malgré l’émotion Vincent et le “delphineau” n’avaient pas perdu le sourire car, s’ils n’avaient pas de trésor, ils s’en allaient le coeur plein d’amis.